The Man from Beijin, by Henning Mankell

Very disappointed by this book. The approach is different from usual crime books as we know early on who the killer is. It could have been interesting but I thought it was mostly boring. I couldn't relate to the main character, a judge who is related to the victims. The only suspense is due to her doing things the wrong way, which is annoying. I also found the opening and closing of the book with the wolf to be extremely cheesy.

Comme tous les après-midi, de Zoyâ Pirzâd

Des histoires courtes, beaucoup de poésie, le poids du temps de ces vies entières résumées en quelques lignes.

Pas d'inquiétude, de Brigitte Giraud

A partir d'un fait divers selon lequel les ouvriers d'une imprimerie ont fait don de leurs RTT pour aider un collègue, père d'un enfant gravement malade, l'auteur imagine la vie de cette famille. C'est un roman assez oppressant, on est plongé dans l'angoisse du quotidien, les soucis de communication, la peur de l'inconnu. C'est passionnant, et ça change des récits dans lesquels les gens se comportent de manière héroïque face à la maladie.

Poisson d'or, de J. M. G. Le Clézio

L'histoire de Laïla, enfant volée et musicienne hors pair. On plonge dans l'univers de cette enfant puis jeune femme, ses rencontres, difficultés et succès. J'ai beaucoup aimé.

Les chasseurs de mammouths, de Jean M Auel

Dans la lignée du 2ème livre, on découvre la vie dans un camp des chasseurs de Mammouths chez lesquels Ayla et Jondalar vont vivre quelques temps. Ayla continue à faire des miracles j'aime bien, Bébé a son petit moment et Loup entre en scène. On nous fait miroiter un futur important pour Ayla, je crois qu'il ne me reste qu'à trouver le quatrième tome de la série !

Rhum Caraïbes, de Maxence Fermine

Un roman très coloré, la vie d'Aristide du début à la fin. Je trouve que ça a quelque chose de très particulier, lorsqu'on suit la vie du personnage central du début à la fin. A la fois rassurant et déprimant. Là c'est dépaysant avec les couleurs et les odeurs des caraïbes, l'insouciance et le fatalisme, l'exotisme des caractères et des aventures.

La vallée des chevaux, de Jean M. Auel

Ayla est exilée, on voit comment elle se débrouille seule dans la nature, trouve son petit coin de paradis. J'aime beaucoup ses rapports avec la pouliche et le lionceau. Sinon c'est rigolo, on dirait que des scénaristes sont arrivés et on dit "eh oh il va falloir plus de sexe là !"

C'est vraiment flagrant entre le 1er et le 2ème volume de la saga !